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samedi 29 juin 2013

La dette publique

Où va-t-on ?  Dans le mur bien sûr !  


La dette publique à 91,7% du PIB à la fin du 1er trimestre




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LA DETTE PUBLIQUE
La dette publique de la France a augmenté de 36,5 milliards d'euros au premier trimestre pour atteindre 1.870,3 milliards fin mars, soit 91,7% du PIB, selon les statistiques publiées vendredi par l'Insee.
Le ratio de dette sur PIB a ainsi augmenté de 1,5 point par rapport à fin 2012.
La dette de l'Etat a augmenté de 37,3 milliards d'euros sur le trimestre pour s'élever à 1.477,2 milliards, précise l'Insee dans un communiqué.
Outre la dette de l'Etat, la dette publique au sens de Maastricht inclut celles des administrations de sécurité sociale (212,7 milliards fin mars), des administrations publiques locales (170,5 milliards) et des organismes divers d'administration centrale (9,9 milliards).
La dette nette des administrations publiques s'élevait à 1.697,1 milliards d'euros fin mars, soit 83,3% du PIB, contre 82,4% fin 2012, en progression de 21,9 milliards sur trois mois, ajoute l'Insee.
Jean-Baptiste Vey, édité par Marc Joanny

vendredi 28 juin 2013

Comment la baisse de l’or présage la Dépression à venir ?


Depuis octobre 2012, le cours de l'or est sur une pente glissante vers le bas.
Dans mon nouvel article de blog, vous allez découvrir :
  • Comment cette situation présage la Dépression à venir
  • Comment l'or a vécu la même situation entre 1929 et 1934
  • Les 4 évenements qui mènent à l'hyperinflation
  • 4 façons d'utiliser votre or à la fin du pic
  • Comment profiter de la rélinitialisation du système financier


Amicalement,

Lionel Ségaut
Le Boxeur Financier

Qui êtes-vous Jean-Loup ?
Partage Blog Jean-Loup
Je suis maintenant retraité et donc disponible pour faire des conférences et des ateliers, écrire des livres:   " La Santé du Funambule " publié en 2005. Le second " Etre heureux , c'est facile " publié en 2008 a été ré-édité en JANVIER 2011. Il est disponible en France-Belgique-Suisse-Canada.  
Mon nouveau livre sur e.book : - Ultime secret de l'Atlantide - On peut télécharger les applications Kindle pour lire les ebooks sur vos téléphone ou ordinateur ci-dessous : Cliquer ci-contre
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POUR VISITER TOUS MES BLOGS : Cliquez ci-dessous sur mon profil complet. Bienvenue Afficher mon profil complet
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jeudi 20 juin 2013

Monde Positif de Jessica

Photo : Réalisez vos rêves :



En hommage et par amour pour l'homme
qui l'a aidée pendant 17 ans à devenir
la femme qu'elle est aujourd'hui, Jessica
vous ouvre les portes d'un

Et quoi de plus symbolique que le jour
de la fête des Pères pour célébrer la
mémoire de son mentor et père de coeur
et de vous dévoiler enfin le rêve qu'ils
avaient en commun !
En plus d'être un précepteur formidable,
Christian était aussi un père aimant,
un modèle et un héros pour ceux qu'il
considérait comme ses enfants.

C'est pourquoi, il est vraiment important
pour Jessica, la fondatrice du
MondePositif, de vous faire découvrir
son site aujourd'hui !
Le Monde Positif, ce sont des conseils
incontournables pour modeler nos vies.
Tous ces outils de développement
personnel nous aideront à révéler notre
« Force Intérieure » et à accomplir
nos projets.
Comme promis, toute l'équipe du
MondePositif est au rendez-vous pour
vous donner le meilleur d'elle-même et ainsi
vous accompagner dans votre réussite.
A l'occasion de l'ouverture du site et de ce
jour magnifique, découvrez votre cadeau
exceptionnel et rappelez-vous :
vous êtes le maître de votre destin et
le Monde Positif vous aidera à acquérir
une grande confiance en vous et à prendre
votre vie en main.
Alors n'hésitez pas un seul instant !
Inscrivez-vous et partez à la découverte
de nouveaux horizons!
Pour devenir membre du Monde Positif,
sans plus attendre !
Bien amicalement,
Les Amis de Christian

Message précèdent

Nous ne vous oublions pas !

Jessica et son équipe travaillent très dur sur
le développement de leur nouveau projet.
Ils sont 7 de l'ancienne équipe du Club Positif
à oeuvrer main dans la main pour y parvenir
et nous sommes fiers de pouvoir y contribuer
également.
Vous pouvez vous préparer à une belle surprise
en souvenir de Christian. Il avait un rêve
qu'il partageait avec celle qu'il se plaisait à
appeler "ma fille, Jessica".
D'ailleurs, elle vous envoie un petit message video :



Cliquez ici pour visualiser la vidéo de Jessica.

lundi 17 juin 2013

Notre système économique est obsolète

Que ceux qui ne veulent pas voir, continuent à ne pas voir, mais le choc avec le mur de la réalité sera très violent et il se rapproche.

6 millions de Français en font vivre 65 millions

La dépense publique atteint 57 % du PIB et elle est couverte à 90 % par l'impôt.DR
C'est une lettre d'Edouard Carmignac, l'un des plus gros gestionnaires de fonds français et également l'un de ceux dont la réussite fut la plus fulgurante.

Il a écrit au mois d'avril une lettre qui m'avait échappé au président de la République mais qui n'a toujours pas pris une ride tant la politique gouvernementale n'a pas changé de ligne d'un iota.

Je vous la reproduis ici intégralement :
« Monsieur le Président,

Il y a à peine neuf mois, je saluais votre élection et l'opportunité historique dont vous disposiez de réformer notre pays en profondeur avec un large soutien de l'ensemble du corps social.

Je me permettais également de vous mettre en garde sur les menaces funestes que constituaient les premiers projets annoncés par votre gouvernement. N'ayant pas été écouté, je me dois de vous exprimer ma conviction que la poursuite du cap actuel mène la France à une triple impasse, économique, politique et morale.

L'activité fléchit bien au-delà des prévisions rassurantes de vos services et notre anticipation d'une chute du PIB proche de 1 % cette année ne facilitera ni une stabilisation du chômage ni une réduction du déficit budgétaire.

Est-ce là si étonnant ? M. Ayrault a fait le choix malheureux de ne pas réduire le train de vie de l'État et de tenter de combler le déficit public en ponctionnant ménages et entreprises. Utiliser la dépense publique comme volant stabilisateur en cas de ralentissement conjoncturel a un sens, et financer ce surcoût de charge par un prélèvement temporaire sur les plus hauts revenus n'est pas déraisonnable.

Maisrefuser de proposer un plan crédible de réduction du train de vie de l'Étatdans une économie condamnée par la faiblesse de sa compétitivité à une croissance durablement lente, alors quela dépense publique atteint 57 % du PIB et qu'elle n'est couverte qu'à 90 % par l'impôt, est suicidaire.

En effet, la crise de confiance engendrée par la fuite en avant des finances publiques suscite des effets en chaîne difficilement maîtrisables. Comment inciter les ménages à consommer, si la peur de l'impôt et du chômage prévaut ?

Comment inciter les entrepreneurs à investir dans un marché intérieur à visibilité réduite, alors qu'ils sont en outre l'objet d'une fiscalité confiscatoire ?La tentation de l'exil se renforce et pas seulement auprès des états-majors de nos entreprises, mais aussi auprès de nos jeunes diplômés, pénalisant ainsi le redressement à venir.

L'ivresse du bateau secteur public n'est pas de votre fait.La France est le seul pays développé dont la croissance des fonctionnaires excède celle des emplois du secteur privé depuis 1987.Sa mise sous contrôle devient une affaire de moralité et de salut public, tant il est équitable que l'épreuve du redressement compétitif soit partagée par tous et tant il est inconcevable que l'activité s'améliore en l'absence d'un programme de réformes crédibles permettant de mettre un terme à l'austérité.

Dotons-nous d'un gouvernement courageux et visionnaire. La France a nombre d'atouts pour faire face à l'enlisement qui nous menace, au premier rang desquels des entrepreneurs de grande qualité faisant trop souvent ces derniers mois figure de persécutés. Mais le temps presse.L'accélération de l'histoire européenne est en marche et le discrédit dont souffre la classe politique italienne doit donner à réfléchir.

Dans cet espoir, je vous prie d'agréer, Monsieur le Président, l'expression de ma considération choisie. »

Je ne connaissais pas l'expression « de ma considération choisie ».Cela veut-il dire que c'est au lecteur, en l'occurrence le Président Hollande, de choisir le niveau de considération envoyé par son expéditeur ?

Bon, on s'en fiche, en tout cas je retiens le coup de ma « considération choisie ». Je suis sûr que vous aussi, en tout cas pour un certain nombre de beaufs de la France d'en bas dont je fais partie et qui ne connaissait pas cette expression.

Le problème de la dépense publique
Oui il y a une crise, oui il n'y a plus de croissance, oui c'est très compliqué, oui nous avons un problème de modèle économique au niveau mondial, oui il y a un petit souci sur la disponibilité des matières premières en raréfaction, et oui nous nous heurtons à la fin de la croissance infinie dans un monde fini.

Mais nous avons un autre problème qui nous est plus spécifique : la dépense publique.

Dans notre pays, nous sommes des malades mentaux, des psychopathes des dépenses publiques. Dès qu'il y a un truc qui se passe, nous nous tournons vers l'État et dès qu'il se passe un truc, l'État vient fourrer son nez dedans. C'est compulsif, d'un côté comme de l'autre.Une véritable dépendance mutuelle s'est instaurée depuis en tout cas la fin de la Seconde Guerre mondiale.

Or Edouard Carmignac soulève dans son courrier au président de la République un élément central.

« (...) la dépense publique atteint 57 % du PIB et (qu'elle) n'est couverte qu'à 90 % par l'impôt (...) »

Les conséquences d'un tel chiffre
Les conséquences d'un tel chiffre sont dramatiques. Pour Carmignac, c'est même « suicidaire », et il a raison puisque cela ne mène qu'à un seul résultat, inéluctable...la faillite de notre pays, de notre État, de nos institutions et à un drame social inévitable.

Chaque semaine qui passe, le gouvernement nous annonce la hausse d'un impôt ou d'un prélèvement obligatoire pour pouvoir poursuivre une politique de redistribution devenue obèse et qui ponctionne désormais largement plus de la moitié de la richesse produite dans notre pays.

Rajoutons quelques chiffres pour bien comprendre
...Pour bien comprendre l'étendu du problème.

Nous sommes, en gros, 65 millions d'habitants en France. Ce qui est important, ce sont les grandes masses. Nous ne sommes plus à 1 ou 2 millions de personnes près !

Sur ces 65 millions de personnes, nous retirons les enfants et les retraités et nous arrivons à une population active d'environ 24 millions de personnes.

Dans cette population active, il y a les chômeurs qui, même s'ils sont inactifs, sont considérés comme pouvant travailler. Soit environ 6 millions de personnes au bas mot.

Il nous reste donc 19 millions de travailleurs. Auxquels il faut retrancher les 9 millions de personnes travaillant pour moins de 790 €, essentiellement en raison de ce que l'on appelle le temps partiel subi.

Nous arrivons donc àune grosse dizaine de millions de personnes appelées les « zaisées » qui travaillent et touchent un salaire égal ou supérieur au SMIC.

Hélas, dans ce lot, il y a quelques millions d'agents de la fonction territoriale et quelques millions de fonctionnaires (rien que pour l'Éducation nationale, on parle d'au moins 900 000 personnes). Faisons une cote mal taillée et considérons quele public et parapublic représentent 4 millions de personnes.

Vous obtenez un total de6 millions de personnes productives et créant de la richesse pour faire vivre, financer, et nourrir 65 millions de personnes.

Attention, lorsque je dis cela, je ne dis pas que ceux qui travaillent à l'hôpital par exemple ne travaillent pas ou qu'ils ne produisent pas quelque chose, mais ils produisent de la dépense, ils ne créent pas de richesses au sens économique du terme, ce qui ne retire rien au fait qu'ils nous soient à tous indispensables.

Les pompiers c'est pareil, les policiers idem et les profs la même chose, pourtant nous voulons tous bien évidemment une école !Mais l'école ne produit pas de richesses directement et pour fonctionner, en revanche, elle ponctionne beaucoup de la richesse produite.

Vous pourrez retourner ces chiffres dans tous les sens, vous arriverez sensiblement au même résultat. Un résultat effrayant qui montre la profondeur des problèmes auxquels nous faisons face et qui, disons-le, sont insolubles pour le moment.

Ces problèmes sont insolubles car nous raisonnons toujours de la même façon, comme un vieux disque rayé nous refaisons la même chose, en appliquant la même stratégie, à savoir augmenter les impôts, encore, encore et encore... Et lorsque l'on arrive à court d'idée, on augmente encore les impôts.

Sauf que ce système approche de sa fin puisqu'à force de ponctionner la richesse produite par les « zautres », ces « zautres » en produisent de moins en moins et sont de moins en moins nombreux.
Ils ne sont plus que 6 millions pour une population de 65 millions de personnes.

Alors que ceux qui ne veulent pas voir, continuent à ne pas voir, mais le choc avec le mur de la réalité sera très violent et il se rapproche.

Read more athttp://www.economiematin.fr/les-experts/item/5008-depense-publique-france-dette-etat/?utm_source=newsletter&utm_medium=Email&utm_campaign=NL-2013-06-08#ZdXUo5b0tSeHwY2H.99

samedi 15 juin 2013

L'homme le plus puissant


  1. Documentaire Comment Bill Gates Est Devenu L'homme Le Plus ... 

    www.youtube.com/watch?v=3PmP0uyC1GU

    11 févr. 2013 - Ajouté par DocEn Bois
    Documentaire Comment Bill Gates Est Devenu L'homme Le Plus PuissantDocEn Bois·280 videos ...


    Bill Gates admet que la vaccination apporte un contrôle ... - YouTube


    www.youtube.com/watch?v=CzBcaiKbYoI

    24 sept. 2012 - Ajouté par YTPolicies
    You need Adobe Flash Player to watch this video.... Le côté obscure des vaccins - Ce qu'on ne vous dit ...

vendredi 14 juin 2013

Ce que vous ne verrez pas ce soir à la télé

Institut pour la Justice
Institut pour la Justice 



Madame, Monsieur,
Christiane Taubira devait être confrontée, ce vendredi soir 
sur France 2, au secrétaire général de l'Institut pour la Justice, 
Xavier Bébin.
Xavier Bébin s'apprêtait à porter la voix des millions de
Français qui contestent le laxisme de la Justice envers
les criminels.
Mais, à la dernière minute, Christiane Taubira a 
refusé cette confrontation et France 2 s'est soumise
à ce diktat.
Voilà comment on parvient à museler ceux qui ne pensent pas 
comme vous. Il suffit de ne pas leur donner la parole !
Mais vous pouvez agir, aujourd'hui même, pour effectuer
 un acte simple et efficace contre cette dictature de la
pensée unique.
Car si Christiane Taubira a fait pression pour empêcher
le secrétaire général de notre association d'être sur le 
plateau de « Ce soir ou jamais » sur France 2, ce n'est 
pas seulement parce qu'elle craignait le débat.
C'est surtout parce qu'elle ne voulait 
pas faire de publicité au livre qu'il vient de publier 
« Quand la Justice crée l'insécurité » (Fayard).
Car ce livre donne à tous les citoyens les chiffres et
arguments clés pour comprendre à quel point ses
projets sont dangereux :
-Christiane Taubira veut en finir avec
le « tout carcéral » ? En réalité, le
nombre de places de prison par habitant est,
en France, inférieur de près de moitié à la
moyenne de l'Union européenne.
-Le gouvernement veut développer les
« libérations anticipées » des délinquants?
Mais par le jeu des remises de peine et de
la libération conditionnelle, un détenu peut
déjà sortir après avoir effectué un peu plus
d'un tiers de sa peine.
-Une nouvelle loi s'apprête à supprimer les
*« peines plancher pour les récidivistes » ?
Alors qu'il existe bien un noyau dur de la
criminalité, ces 5 % de délinquants sont
 responsables de plus de 50 % des crimes
et délits commis !
-La prison doit devenir l'exception ? Mais elle
 l'est déjà : Sur 1,4 million d'auteurs présentés
chaque année à la Justice, seuls 80 000 sont
réellement envoyés en prison.
-La garde des Sceaux veut supprimer les
« tribunaux correctionnels pour mineurs » ?
 Les mineurs de 14 à 18 ans représentent
1 % de la population carcérale et 5 % de la
population générale, mais ils sont responsables
de 25 % des viols, 24 % des cambriolages
et 46 % des vols avec violence.
Tous ces chiffres, mais aussi de nombreux exemples 
concrets, sont révélés dans 
Quand la Justice crée l'insécurité.
Le problème est que la plupart des médias ont décidé 
de passer ce livre sous silence.
Pourquoi ? Parce que ce livre est « dangereux » pour 
le pouvoir.
Ce n'est pas moi qui le dit mais Philippe Bilger, 
ancien avocat général à la Cour d'appel de Paris, et 
qui n'appartient pas à l'Institut pour la Justice :
Étayée par de nombreuses statistiques, 
illustrée par des exemples puisés dans
l'actualité, fondée sur de solides arguments, 
l'analyse de Bébin démolit tranquillement, 
sans vergogne mais sur un ton mesuré, 
les poncifs de la phraséologie pénale, 
judiciaire, pénitentiaire, sociale et médiatique.
Cette démolition est d'autant plus redoutable, 
donc à exclure des circuits d'information 
et de diffusion, qu'elle est enrichie par des 
propositions que les politiques pourraient 
aisément et rapidement mettre en œuvre.

La mécanique habituelle de la disqualification 
s'est mise en marche. Xavier Bébin serait 
« de droite », et l'Institut pour la Justice, une 
association 
« très droitière ». Il faut faire litière de ces 
accusations (...)Il est malhonnête de le 
présenter comme une émanation de la droite 
dure – et irresponsable d'ignorer son 
implacable diagnostic.
Mais si les médias n'en parlent pas, VOUS pouvez briser
le mur du silence en vous procurant ce livre. Vous pouvez
aussi en parler autour de vous et l'offrir à des membres
de votre entourage – surtout ceux qui doutent de l'urgence
absolue d'une réforme de la Justice en France.
Plus ce livre sera diffusé, moins les politiques, les médias 
et les juges pourront ignorer son diagnostic et 
ses recommandations.
Si vous souhaitez contribuer à ce grand mouvement pour l
a vérité et la Justice, merci de le commander maintenant 
en  Cliquez ci-dessous

cliquant ici.
Je vous invite aussi à transférer ce message à tous vos contacts :
 il est impératif que chacun sache comment les idées
« non conformes » mais de bon sens, sur la Justice
et l'insécurité, sont exclues du débat public en France.
Avec tous mes remerciements,
Laurence Havel
Secrétaire nationale de l'Institut pour la Justice
PS : quelques témoignages sur le livre 
« Quand la justice crée l'insécurité ».
« J'ai bien reçu l'ouvrage de Xavier Bébin et vous remercie 
de l'envoi rapide de cet ouvrage dont j'ai déjà entamé l
a lecture avec le plus vif intérêt. Il conforte en tous points 
votre admirable engagement à vouloir défendre les victimes 
et leurs familles. Ces témoignages cités par l'auteur sont 
bouleversants et montrent à quel point la Justice de ce pays 
est irresponsable et inopérante. »
Monsieur Philippe V. sympathisant de l'Institut pour la Justice
« Un réquisitoire clinique et implacable contre les dogmes 
qui ont dévoyé notre système judiciaire »
Thibault de Montbrial, avocat au barreau de Paris
« M. Xavier Bébin démontre magistralement la perversion 
de notre système pénal, oublieux de son rôle de protection 
de la société et indifférent aux victimes. Ce livre salutaire 
prouve que l'humanisme n'est pas là où l'on voudrait nous
 le faire croire »
Jean-Claude Magendie, ancien président de la Cour 
d'appel de Paris
« En matière criminelle, on est trop souvent interpellé par 
les incantations, les imprécations ou les lamentations. 
Le débat mérite mieux. On peut partager ou critiquer 
les analyses de Xavier Bebin. Mais il faut lire ce livre 
pour construire enfin le dispositif équilibré entre prévention, 
dissuasion et sanction adaptée que méritent les citoyens.»
Alain Bauer, professeur de criminologie au Conservatoire 
National des Arts et Métiers, New York et Beijing
« Un ouvrage courageux, qui défend de façon rigoureuse 
une politique pénale du bon sens, loin des idéologies 
abstraites et préconçues »
Jean Pradel, professeur émérite des Universités, 
ancien juge d'instruction
« A partir d'exemples concrets, dans un style vif et 
accessible, cet excellent livre décrit les dérives d'un 
système judiciaire à bout de souffle. »
Olivier Foll, ancien directeur de la police judiciaire de Paris
« Tout est vrai dans cet ouvrage remarquable qui nous 
ramène du fantasmagorique au pragmatique, de
l'angélisme au trivial, du dogmatisme idéologique à 
la pratique du réel ».
Michel Bénézech, psychiatre, légiste, expert judiciaire 
honoraire et professeur associé des Universités
« Un plaidoyer étayé par des exemples frappants et 
une solide connaissance de la criminologie. »
Maurice Cusson, criminologue, professeur émérite à l
'Ecole de criminologie de l'Université de Montréal


Institut pour la Justice
Institut pour la Justice 
- 140 bis, rue de Rennes - 75006 Paris
www.institutpourlajustice.org